Notre voyage continu en ALBANIE
Un vieux cimetière
Un minaret
des vendeurs ambulants
Une église Orthodoxe
En soirée nous arrivons à Shengjin , nous cherchons une banque , nous échouons car cet automate est un peu compliqué , j'en trouve une autre plus simple qui nous délivre enfin de la monnaie ,des Like , 10 likes = 0,7903 euros
Nous stationnons sur la plage ,avec des toilettes à proximités , pratique .Nous allons boire au café de cette plage , nous avons le wifi pour envoyer messages à la famille et aux amis
Nous sommes accueilli par tous ces toutous, pas agressifs du tout
l 'orage éclate dans la soirée , il effraie Babou qui se réfugie contre moi , la foudre est tombée tout près . L'orage c'est mis à jouer des roulements de tambours , à par ça nous avons bien dormi
baignade au levé du jour
Babou fait du surf
ici ils labourent les plages !!! bizarre
Balade en scooter Il faut être plus prudent pour circuler en deux roues vu l'état des routes
drôle de rencontre dans cette ville !!!
Après déjeuner nous partons visiter Lezhé en scooter
Une petite ressemblance , hi hi !!!
Grâce à la wifi du café je mets à jour mon blog dans le camping car
Les moustiques ne demandent qu'à rentrer je ne les laisse pas faire car je veux passer une bonne nuit
Direction le château de Kruje ,
nous trouvons un parking à 300 l (2,40 e environ ) pour visiter Krujë ,
, le premier était à 500 l
Kruja (ou Krujë), patrie du Héros Albanais Skanderberg
Cette jolie ville médiévale située dans une zone montagneuse, à seulement 20 km de Tirana ,
peut s'enorgueillir d'avoir accueilli plus d'une fois de grands
résistants albanais. Il n'y a donc rien d'étonnant à ce qu'elle attire
l'attention des passionnés d'histoire lors de leur séjour en Albanie.
Kruja a été pendant plusieurs siècles la capitale de l'Albanie, ou tout du moins des États qui l'ont précédé. Ainsi, elle prend la tête en 1190 de la principauté d'Arbër, qui est la première expression étatique autonome du peuple illyrien des Albanis, et garde son rôle de capitale lors de l'apparition du Royaume d'Albanie.
Peu après la conquête ottomane, Georges Kastrioti Skanderberg, l'un des principaux héros albanais, reprend la ville de Kruja, et sort victorieux des sièges et affrontements qui ne manquent pas de s'ensuivre pendant les 25 années suivantes. Kruja est alors un point clé du front qui oppose l'empire ottoman aux nations européennes. Après la mort de Skanderberg, la ville finit toutefois par tomber aux mains des Turcs. Bien plus tard, pendant la IIème Guerre Mondiale, Kruja s'illustre encore en devenant l'un des foyers de résistance contre l'occupation fasciste, résistance menée par Abaz Kupi.
On comprend donc pourquoi le musée Skanderberg est l'un des endroits à ne pas manquer à Kruja. C'est d'autant plus vrai qu'il est abrité dans les murs-mêmes du château médiéval. De même, il faut visiter le musée ethnographique, qui revient sur les modes de vies albanais traditionnels, dans un cadre d'époque.
Enfin, pour s'immerger dans la culture locale, il convient de découvrir les tekkés, ces lieux de cultes soufis d'aspect modeste, mais pourtant très importants dans la religion bektachi. Le plus célèbre d'entre eux est le tekke Dollma, du nom de la famille qui s'en occupe.
Et il serait dommage de quitter la ville sans faire un détour par le vieux bazar, à l'animation très plaisante : c'est le lieu idéal pour ramener de jolis souvenirs de son voyage en Albanie.
Fer de lance de la résistance à l'Empire Ottoman
Kruja a été pendant plusieurs siècles la capitale de l'Albanie, ou tout du moins des États qui l'ont précédé. Ainsi, elle prend la tête en 1190 de la principauté d'Arbër, qui est la première expression étatique autonome du peuple illyrien des Albanis, et garde son rôle de capitale lors de l'apparition du Royaume d'Albanie.
Peu après la conquête ottomane, Georges Kastrioti Skanderberg, l'un des principaux héros albanais, reprend la ville de Kruja, et sort victorieux des sièges et affrontements qui ne manquent pas de s'ensuivre pendant les 25 années suivantes. Kruja est alors un point clé du front qui oppose l'empire ottoman aux nations européennes. Après la mort de Skanderberg, la ville finit toutefois par tomber aux mains des Turcs. Bien plus tard, pendant la IIème Guerre Mondiale, Kruja s'illustre encore en devenant l'un des foyers de résistance contre l'occupation fasciste, résistance menée par Abaz Kupi.
Une grande place pour la tradition
On comprend donc pourquoi le musée Skanderberg est l'un des endroits à ne pas manquer à Kruja. C'est d'autant plus vrai qu'il est abrité dans les murs-mêmes du château médiéval. De même, il faut visiter le musée ethnographique, qui revient sur les modes de vies albanais traditionnels, dans un cadre d'époque.
Enfin, pour s'immerger dans la culture locale, il convient de découvrir les tekkés, ces lieux de cultes soufis d'aspect modeste, mais pourtant très importants dans la religion bektachi. Le plus célèbre d'entre eux est le tekke Dollma, du nom de la famille qui s'en occupe.
Et il serait dommage de quitter la ville sans faire un détour par le vieux bazar, à l'animation très plaisante : c'est le lieu idéal pour ramener de jolis souvenirs de son voyage en Albanie.
,Visite du musé 200l par personne , Babou est autorisée à rentrer ,dans le sac à dos
Aujourd'hui de nombreux écoliers et collégiens visitent cette endroit magnifique et riche d'histoire
il me joue un petit air avec un beau sourire
les cailloux glissent , je marche avec prudence , je n'ai pas envie de me casser la binette
fin de la visite
Il est midi nous arrivons à Fushë Krujë , nous sommes à la recherche d'un petit restaurant , nous trouvons qu'un fast-food , heureusement le Kébab est servi avec des frites maison comme je les aime le tout pour 720 l =
5 euros à deux
un petit tour au marché les prix sont très attractifs
Nous traversons Dures , deux sortes de quartiers, très pauvres et ou riches ,mais les routes sont toujours en mauvaises états
Belle plage mais pas de parking pour stationner , les voitures sont arrêtées dans le rond point , nous en faisons autant le temps d'une baignade
En soirée arrêt sur un petit parking en bord de mer au bout d'un chemin ,deux campings à proximités.
Pas d'interdictions , on nous dit rien et les gens sont toujours aussi souriants
Coordonnées GPS de notre bivouac
un pêcheur à l'épervier capture quelques muses Alain l'observe ,celui ci échange quelques mots accompagnés de gestes pour une meilleur compréhension
Une dame et sa fille poussent une brouette ,elles s'approchent de notre camping car , je vais à son encontre, elle vend des légumes et fruits de son jardin . je lui achete un melon et des tomates pour 250 l = 1,97 euros
Clafoutis aux cerises cuit au four du camping car avec les cerises achetées au Monténégro
Au petit matin un pêcheur à l'épervier est présent
Alain va le saluer , très sympa comme la majorité des albanais
Alain part à la pêche ,
Cette dame très souriante emmène ses vaches au bord de l'eau
Babou me suit dans ma balade du bord de mer
pas un chat sur la plage la saison n'est pas commencée
Une petite chicorée au retour de la marche , il va faire encore très beau et chaud aujourd'hui , nous fermons les stores du camping car pour garder un peu la fraîcheur du matin
nous voilà reparti vers d'autres découvertes
Des paysans avec des fourches en bois, image d'un autre temps ,que nous apprécions beaucoup
Ceux là ne sont pas riches comme beaucoup dans le pays mais toujours un salut de la main et de grands sourires
sur cette autoroute il est indiqué qu'à la station d'essence il y a une aire de vidange , mais en définitif il n'y en a pas , c'est pour faire beau sur le panneau
la station d'essence nous permette de faire de l'eau
des vendeurs de légumes et fruits au bord de l'autoroute assez surprenant pour nous
les routes toujours aussi défoncées
les maisons toujours aussi colorées
un champ de choux
culture de carottes
la photo ne représente pas bien le raidillon ni l'ornière,la route s'arrête là pour nous
Nous changeons de direction pour Berat
au menu , mouton accompagné
frites maison , salade verte , tomates ,concombres ,oignons , puis fromage caillé avec 4 toasts servi avec olive 2200 L 19 euros un peu cher pour le pays mais nous regrettons pas notre repas
la canette sert d'antenne
nous nous servons de la wifi du resto pour faire internet dans le camping car , pas pressés de reprendre la route il pleut
intelligent ce faneur,il ne veut pas se fatiguer, il pousse une brouette à trois roues
des travaux des champs récolte de carottes et tout à la main
Il est 16 h , nous arrivons à Berat , un homme veut à tout pris nous emmener au camping , nous refusons
Nous apercevons deux campings cars français rencontrés en Croatie , nous les rejoignons ils ne sont pas dans leurs véhicules et pas de place à côté d'eux ,un petit peu plus loin une dame âgée est assise devant sa porte . Alain lui demande l'autorisation de stationner sur le parking près de chez elle elle accepte avec un grand sourire et elle veut même que nous nous rapprochons de sa propriété, mais des fils en hauteur nous en empêche elle insiste cette jeune personne a compris et lui explique, nous les remercions de nos plus grands sourires
Nous sortons le scooter pour aller jusqu'au château , la route qui y emmène est en travaux il nous faut faire un grand détour , De gros nuages noirs menacent
Pas facile de rouler sur cette route même en scooter
Pavés en très mauvais états
Orage et pluie nous accompagneront une partie de la nuit
pour lui ce n'est pas de l'eau hi hi ....
nous en profitons pour prendre des photos et balades dans les ruelles de galets au dessus de notre parking les photos font doublons mais celle ci le ciel est bleu
notre parking
Notre errance nous emmène au pied de cette église Orthodoxe , un"gardien" nous semble t il nous invite à la visiter
sur la route de notre retour des personnes s'empressent pour acheter des cerises à un vendeur , je me joins à la file tout en cherchant à combien la vendeuse les vendait, quand un homme d'un certains age m'en donne une double poignée bien remplie, j'essaie de me faire comprendre , puis il me donne une poche avec une autre double poignée de cerises , je lui demande combien je lui dois par des gestes car on ne parle pas sa langue , il me fait comprendre que c'est cadeau , je lui tends un billet il refuse j' insiste,mais rien à faire il ne veut pas de mon argent alors nous le remercions en Albanais
(falemnderit )
à la sortie de la ville nous retrouvons des vendeurs de cerises , nous en achetons 3 kg pour faire de la confiture
Ignore cette destination
pas d'amélioration des routes
toujours le sourire
une drôle de maison
il y a des jolis ronds points dans ce pays aussi
ville de Fier
Pour certains Albanais ce sont leurs moyens de transport
et comme vous le constatez toujours souriants
Nous arrivons au site archéologie de d'Apollonia , un grand parking pour stationner
400 L l 'entrée
Apollonie d'Illyrie, le trésor hellénistique de l'Albanie
Aux portes de Pojani, un charmant
village à quelques kilomètres de l'Adriatique, le Parc Archéologique
d'Apollonia s'étale sur deux collines. Créé en 2006 par l’État albanais,
il abrite des vestiges précieux dans un cadre très méditerranéen, où
les blocs de marbre reposent à l'ombre des oliviers.
Fondée par des Corinthiers en 588 avant notre ère, Apollonia s'est d'abord appelée Gylacéia, avant de prendre le nom du dieu de la musique et de la poésie. Prospère, elle se développe bien grâce à son port et sa belle situation sur les routes commerciales de l'époque.
À partir de -229, elle est intégrée à la République Romaine, et prend parti pour César contre Pompée lors de la guerre qui les oppose, près de deux siècles plus tard. Sa magnificence ne fait que croître au cours des années suivantes, jusqu'à ce que les terres deviennent marécageuses à la suite d'un tremblement de terre au 3ème siècle : les maladies qui la frappent alors, ainsi que le déclin de son activité portuaire la conduisent à perdre alors en importance, au profit de Vlorë, non loin.
Lorsque les premières ruines sont retrouvées au 18ème siècle, il ne s'agit alors que d'un hobby d'intellectuels : la ville est dépeuplée et seul village subsiste à quelque distance. Au début du 20ème siècle, une équipe d'archéologues français va commencer à mener des fouilles sérieuses. C'est le début d'un lien fort entre la France et l'Albanie, sur ce chantier culturel mené conjointement par les deux nations.
L'influence grecque, puis romaine est flagrante dans l'architecture qui a été mise à jour. Il ne faut pas manquer le Bouleuterion, un temple dont la façade classique est debout, ou l'Odéon, dont les gradins arrondis s'appuient aux flancs de la colline, jadis étincelants de marbre blanc. Un obélisque peut également être admiré près des murs massifs du Téménos. A l'écart du reste, le Nymphée permettait de recueillir de l'eau de source dans une très grande citerne.
Moins spectaculaires, mais tout aussi passionnants pour les amateurs d'histoire ancienne, certains bâtiments ne laissent voir que leurs fondations mises à nu lors des excavations : une maison avec un impluvium ici, un gymnase ailleurs, les bases d'un temple de Diane un peu plus loin...
Une histoire mouvementée pendant l'Antiquité
Fondée par des Corinthiers en 588 avant notre ère, Apollonia s'est d'abord appelée Gylacéia, avant de prendre le nom du dieu de la musique et de la poésie. Prospère, elle se développe bien grâce à son port et sa belle situation sur les routes commerciales de l'époque.
À partir de -229, elle est intégrée à la République Romaine, et prend parti pour César contre Pompée lors de la guerre qui les oppose, près de deux siècles plus tard. Sa magnificence ne fait que croître au cours des années suivantes, jusqu'à ce que les terres deviennent marécageuses à la suite d'un tremblement de terre au 3ème siècle : les maladies qui la frappent alors, ainsi que le déclin de son activité portuaire la conduisent à perdre alors en importance, au profit de Vlorë, non loin.
La redécouverte d'Apollonia
Lorsque les premières ruines sont retrouvées au 18ème siècle, il ne s'agit alors que d'un hobby d'intellectuels : la ville est dépeuplée et seul village subsiste à quelque distance. Au début du 20ème siècle, une équipe d'archéologues français va commencer à mener des fouilles sérieuses. C'est le début d'un lien fort entre la France et l'Albanie, sur ce chantier culturel mené conjointement par les deux nations.
Sur place, les vestiges remarquables d'une cité gréco-latine
L'influence grecque, puis romaine est flagrante dans l'architecture qui a été mise à jour. Il ne faut pas manquer le Bouleuterion, un temple dont la façade classique est debout, ou l'Odéon, dont les gradins arrondis s'appuient aux flancs de la colline, jadis étincelants de marbre blanc. Un obélisque peut également être admiré près des murs massifs du Téménos. A l'écart du reste, le Nymphée permettait de recueillir de l'eau de source dans une très grande citerne.
Moins spectaculaires, mais tout aussi passionnants pour les amateurs d'histoire ancienne, certains bâtiments ne laissent voir que leurs fondations mises à nu lors des excavations : une maison avec un impluvium ici, un gymnase ailleurs, les bases d'un temple de Diane un peu plus loin...
Je demande au gardien du musée l'autorisation de prendre cette affiche en photo. il me dit oui en m'indiquant distraitement que je peux photographier le musée car je suis française et qu'elle rappelle l'action de la France pour ce musée
petit restaurant qui nous attire 1800 lek 14,23 euros
2 turbos 6 petits bars frites salade composée boissons le tout délicieux
Nous trouvons cette plage , de gros travaux sur la route du parking, des véhicules des
travaux y sont stationnés sur .La mer est marron suite aux
orages et peu profonde , nous prenons un bain de soleil , pas de bain pour nous l'eau est trop boueuse , nous reprenons la
route à la recherche d'un autre bivouac
Pas de casque et à trois sur ce scooter
Ceux là jouent au carte en attendant les clients
un autre rond point original
Vlore grande ville
Les passages cloutés sont multicolores , difficile de ne pas les voir
Vendredi 25 mai
Soleil ,22°à Orikum où nous avons passé une bonne nuit entre deux paillotes à l’abandon
les Albanais s'activent pour rendre les plages propres
Des travailleurs d'osier très sympathiques , ils vivent sous les tentes
un salut de la main à notre passage
Baignade , On se rend compte que Babou a une plaie à la patte arrière nous la soignons
les routes sont toujours en mauvaises états , la prudence est de rigueur
le parc national de Llogara sera notre destination
Le parc de 1000 hectares englobe des forêts situées entre 500 et 2000m.
Le long de la route, nous croisons des vendeurs de miel et de thé de montagne.
Côté faune, on peut y rencontrer des daims, chevreuils, chamois, loutres
eurasiennes, fouines, chats sauvages européens, renards roux, loups,
vautours fauves et aigles royal.
Pour nous ce sont des chevaux en libertés sur le bord de la route , un décide de traverser
Jolis paysages montagneux
Col de Llogara
Au sud-ouest de l’Albanie, entre Vlora et Saranda, se trouve la
région de la « Riviera albanaise ». C’est l’endroit où la route qui vous
mènera vers le col de Llogara vous offrira, à chaque virage, des vues à
couper le souffle sur la côte Ionienne, là où les plages se succèdent
au pied des montagnes dont certaines atteignent les 2000 m et qui sont
parsemées de petits villages qui défient le temps.
Le col de Llogara arrive à
une longueur de 22.8 km et une altitude 1043 m et sa pente moyenne est
de 4.4 %. Le parc national au même nom réunit montagnes, mer et forêts
de conifères.
Arrêt en haut du col , de nombreux motards font une halte comme nous pour admirer la vue
De jolies fleurs , inconnu à notre catalogue
routes sinueuses et virages serrés en épingles
Un camion en panne est tiré par un autre sur une route montagneuse
nous apercevons de nombreux vieux bunkers, . Un total d'environ 800 000 bunkers sont abandonnés en Albanie.
En descendant d' une route sinueuse dans un virage se trouve une fontaine très fréquentée ,
elle nous a permis de refaire un plein d'eau fraiche avant d'arriver aux plages, nous sommes pas les seules à en profiter
Porto Palermo est une magnifique baie encore très
sauvage, malgré sa riche histoire. A l'époque communiste, une base de
sous-marins soviétiques avait été construite à l'endroit le plus protégé
de la baie. L'accès au site est interdit, cependant l'entrée du tunnel
long d'un kilomètre et haut de 12 mètres, , traversant la péninsule, ainsi que les bâtiments
annexes, sont bien visibles depuis la route.
Nous descendons sur la petite plage de la presqu'île du château de Palermo par un petit chemin étroit
sur cette presqu'île, une forteresse édifiée au début du XIXème siècle par Ali Pacha de Tepelena.
Nous trouvons une place tout prêt de la mer , nous faisons attention pour nous baigner il y a beaucoup d'oursins
Des mariés profitent de ce joli cadre pour des photos souvenirs, non la mariée n a pas levé la robe plus haut , hi hi !!!
Château Porto Palermo
Le château de Porto Palermo a une forme triangulaire de 150 x 400 mètres et ses murs atteignent 20 mètres. De solides murs de défense protègent toute la zone avec des meurtrières pour les armes à feu à l'avant et sur les côtés. La péninsule sur laquelle se trouve le château possède des buissons méditerranéens toujours verdoyant
Samedi 26 Mai
soleil 23°
Petit déj en bordure de mer , la vie est belle
Les pêcheurs rentrent au port
Les oursins , attention de ne pas marcher dessus en allant se baigner
des pisciculteurs au travail
Nous sommes samedi la plage se rempli d'Albanais venus pour le weekend
nous repartons pour un autre bivouac
Baignade en nous levant
un torrent nous permet de laver le camping car
Direction la Grèce
Un couple de camping cariste Français
Si rien ne tombe de sa fourgonnette il aura de la chance
vous avez compris ça va descendre
Une autre fontaine qui nous permet de faire le plein d'eau
Nous prenons le bac pour traversé le canal de Vivari. Le site archéologique de Butrint se trouve en face. Pour traverser ce canal, c'est un radeau que nous devons emprunter avec notre camping-car; Il s'agit en fait d'un bac très rudimentaire en bois, tracté par des câbles et piloté par des albanais.
11 euros le passage
Notre Dounid est prêt pour la traverser
maison couleur albanaise
Dernier petit village avant la frontière Grecque
un berger mène son petit troupeau de moutons sur la route
Drapeau Albanais , nous arrivons à la frontière , nous quittons ce pays qui nous a ouvert les bras
Poste de douane Albanie , un peu long pour vérifier les papiers
Nous voici revenue en Europe , Grèce
Poste de douane Grecque
Ce soir nous dormons en Grèce sur cette petite plage de galets;
la mer est à la porte du camping car
la suite de notre voyage en Grèce dans notre prochain blog
L'Albanie où nous avons eu plaisir à poser nos roues malgré ses routes chaotiques ,Un pays pauvre économiquement mais riche en accueil en convivialité avec un peuple qui n'est pas avare de leurs sourires .
La vie pour nous n'est pas cher ,
Revu avec plaisir qqs jolis coins même si l'Albanie ne nous a pas laissé un souvenir impérissable Laughing
RépondreSupprimerJe vois que l'état des routes ne s'est pas amélioré ces dernières années .
Joli CR et merci pour le partage